Les compromis du printemps
Au printemps vous diront les personnes interrogées. (Un panel de huit personnes consultées exprès pour cet article.) Les gens sortent de l’hiver, les projets reviennent et le temps de trouver un bien qui leur correspond pour la rentrée. Les acquéreurs deviennent plus actifs sur la recherche et le compromis suit.
C’est vrai qu’au printemps, les jours se rallongent et nous augmentons petit à petit notre activité. Pourquoi en serait-il autrement pour l’immobilier ? Beaucoup de propriétaires sont persuadés de la justesse de cette analyse et donc, ils proposent leur bien à ce moment. La nature reprend ses droits, la verdure revient, les fleurs poussent et la maison à vendre sera forcément mieux présentée et plus attractive.
Les compromis de l’été
Au début de l’été vous répondront d’autres personnes interrogées sur le même sujet. Il commence à faire vraiment beau, les températures augmentent et les gens sont de plus en plus imprégnés de vitamine D, ils deviennent très actifs. Le projet immobilier fatalement reprend le devant de la scène et l’objectif rentrée scolaire de septembre apparaît encore plus proche ; Il faut se dépêcher.
Les compromis de l’automne
Septembre et octobre sont les plus gros mois pensent d’autres personnes. Durant l’été les repérages ont été effectués. Il est temps de concrétiser. Un objectif peut être également de passer l’hiver dans sa nouvelle demeure. C’est vrai qu’il n’est pas question pour moi de partir en congés au moment de la rentrée où les personnes sont très actives. Mais est-ce que réellement il se passe plus de choses ces mois-là ?
Les compromis de l’hiver
Le plein hiver est la meilleure période pour acheter un bien. Certains en sont persuadés. Les défauts de la maison sont exacerbés. La luminosité est basse, si la maison reste claire c’est très bon signe. Il fait froid dehors, si la chaleur est douce et qu’on se sent bien à l’intérieur, encore un bon point. Pour l’extérieur, s’il plaît sous la pluie, avec le soleil ce sera encore mieux.
Chaque saison à ses défenseurs. Cela signifie qu’il y a de moins en moins de saisonnalité pour exercer le métier d’agent immobilier. La vente de biens se fait tout au long de l’année. Il y a bien sûr des mois qui sont traditionnellement creux, janvier par exemple. Mais on n’est jamais à l’abri d’un mois de janvier hors normes qui défonce tous les scores. Dans le sens contraire, mars est souvent engageant mais une mauvaise surprise, un événement extérieur non prévu peut ruiner les prévisions de facturation les plus précises.
Toutes les saisons ?
L’enseignement à retirer pour exercer notre métier, le business est là quand on s’en occupe. Le travail régulier est indispensable pour être prêt quand le client se présente. Aller de l’avant et semer pour récolter est la base de tout travail commercial, le nôtre aussi. Ne négligeons aucun mois de l’année, pour ma part, une de mes vente les plus importante à eu lieu en novembre.
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